A tous ceux qui auraient voulu avoir un dragon comme animal de compagnie et meilleur ami, les films Dragons sont faits pour vous. Découvrez une incroyable histoire d’amitié entre un jeune viking et un dragon, qui transformera complètement le monde dans lequel ils vivent.

C’est sûr qu’un dragon, c’est tout de suite moins docile qu’un Yack…

Fiche technique

  • Titres francophones :
    • Dragons
    • Dragons 2
    • Dragons 3 : le monde caché
  • Titres originaux :
    • How to train your dragon
    • How to train your dragon 2
    • How to train your dragon : the hidden world
  • Réalisation : Dean DeBlois, Chris Sanders (1er seulement)
  • Scénario : Dean DeBlois, Chris Sanders, William Davies (1er seulement)
  • Musique : John Powell
  • Inspiré de : Série de livres “Harold et les dragons” (How to train your dragon) de Cressida Cowell
  • Genre : Fantasy, Film d’animation
  • Durées : 98 minutes, 102 minutes, 104 minutes
  • Sorties : 2010, 2014, 2019
  • Spin-off : Dragons : Cavaliers de Beurk (saison 1), puis Dragons : Défenseurs de Beurk (saison 2), et enfin Dragons : Au-delà des rives (saisons 3-8) (série située entre Dragons et Dragons 2)
  • Classifications : Tous publics (PG)

Attention, les différents synopsis qui suivent ne sont pas exempts de SPOILERS par-rapport aux films qui précèdent celui dont ils font le résumé. D’où la séparation en onglets.

Dragon

 

L'affiche du film Dragons

Dragons : A quoi s’attendre

L’île de Beurk est peuplée de vikings aussi rudes que son climat. Aux conditions météorologiques inhospitalières viennent s’ajouter une seconde menace : celle des dragons, qui attaquent régulièrement les troupeaux et autres réserves de nourriture de l’île. Les Beurkiens ont donc au fil du temps perfectionné leurs techniques de chasse au dragon, et en tuer un est un rite de passage chez les jeunes de l’île.

Contrairement aux autres jeunes vikings, Harold Horrible Haddock, fils du chef Stoïk la Brute, a un physique chétif et ses talents de combattant sont au mieux médiocres. Stoïk a donc consigné son fils à la forge, espérant le garder à l’abri, alors que son fils ne rêve que de faire ses preuves pour être enfin accepté comme un viking à part entière. Un soir d’attaque de dragons, il sort avec un lance-filet de sa création et vise le plus redoutable des dragons : le Furie nocturne. Contre toute attente, Harold arrive à l’atteindre ; mais sans témoin, il est incapable de prouver ses dires. Qu’à cela ne tienne, il s’enfonce dans la forêt à la recherche du Furie nocturne, bien décidé à ramener sa tête ou son cœur à son père.

Le chef Stoïk (à droite) et son inséparable ami, le forgeron Gueulfor (à gauche).

Sauf qu’une fois devant le dragon à terre, Harold est incapable de le tuer et le libère à la place. Mieux, il décide de l’étudier et découvrira ainsi quantité de choses que son peuple ignore au sujet des dragons, et apprendra ainsi à connaître une créature qui pourrait devenir un allié, ainsi qu’un ami.

Dragons 2

L'affiche du film Dragons 2

Dragons 2 : A quoi s’attendre

Cinq ans après la rencontre d’Harold et de Krokmou, les choses ont bien changé sur Beurk : de prédateurs nuisibles à abattre, les dragons sont devenus de précieux alliés des vikings de l’île, allant de l’animal de compagnie au partenaire de travail suivant les races.

Fier de son fils et de ce qu’il a accompli, Stoïk désire lui passer le flambeau et faire de lui le chef, mais Harold, loin de se sentir les épaules d’un meneur de la trempe de son père, préfère passer son temps à explorer et à repousser toujours plus loin les limites des cartes.

C’est lors d’une telle exploration que les dragonniers vont apprendre qu’un certain Drago Poinsanklant a mis à sa botte tous les trappeurs de l’archipel et qu’il se sert d’eux pour construire une immense armée de dragons.

Astrid face à Drago Poingsanklan

Stoïk, qui connaît Drago, veut aussitôt préparer les défenses de l’île afin de protéger ses habitants. Mais Harold, sûr de ses qualités de persuasion, va passer outre et foncer à la rencontre de Drago pour faire entendre raison à leur adversaire. Le jeune viking est loin de deviner qu’il fera en chemin une rencontre inattendue et qu’il devra découvrir quel chef il veut devenir.

Dragon 3

L'affiche du film Dragons : le monde caché

Dragons 3 : A quoi s’attendre

Drago Poinsanklant et son dragon vaincus, Harold et les dragonniers multiplient les attaques contre les trappeurs pour libérer les dragons et les ramener sur Beurk. Mais même si les habitants de l’île adorent les dragons et débordent d’ingéniosité pour que la cohabitation se passe au mieux, cela commence à faire vraiment beaucoup de monde à gérer, même avec l’autorité d’Alpha de Krokmou. Harold a beau être optimiste, l’île devient un peu plus une cible à chaque dragon supplémentaire qui la rejoint. Pout le jeune chef viking, il n’y a qu’une solution : trouver le légendaire Monde caché, l’endroit d’où seraient originaires tous les dragons, et y déplacer toute la population de Beurk, humains et dragons. Mais les Beurkiens vivent sur leur île depuis sept générations, et l’idée risque fort de ne pas leur plaire.

Chez les trappeurs, la situation devient intenable : impossible de faire des affaires avec les dragonniers qui attaquent leurs navires et libèrent toutes leurs proies. Ils décident alors de faire appel à Grimmel, un redoutable tueur de dragons à qui on doit la quasi-disparition des Furies nocturnes : il hait les dragons et rien ne lui plaît davantage que de traquer ses proies. Fin connaisseur des moeurs des Furies, il va se servir d’une femelle mise à sa disposition par les trappeurs pour attirer Krokmou ; ensuite, récupérer les autres dragons ne sera qu’une formalité, puisqu’ils suivront leur Alpha.

Grimmel, le tueur de dragons.

Tous les deux confrontés à d’importantes menaces, Harold et Krokmou devront faire des choix afin de protéger les leurs, et de ces décisions pourraient bien dépendre l’avenir commun des deux races.

Avis et sources

Avis de la rédac’

Mikaua : Epargnée par la malédiction des suites, la saga Dragons est une véritable perle et chaque film est aussi bon que le précédent. Au niveau du scénario, on a de bonnes histoires qui tiennent très bien debout. Les personnages sont très bien développés, très humains, et évoluent de film en film de manière parfaitement cohérente (même si pour certains, les défauts sont loin d’aller en s’arrangeant, mais on en rit aux larmes plutôt que de s’agacer) : on s’attache très vite à la petite communauté des Beurkiens – qui sont tous bien sympathiques, au fond, malgré leurs manières un peu rudes. Niveau animation, tout est fluide et chapeau bas pour les dragons : on arrive rien qu’aux postures à reconnaître de quel animal sont inspirés les différents dragons, ce qui les rend d’autant plus réalistes – et Krokmou en est l’exemple le plus frappant, on croirait vraiment voir un chat à plusieurs moments ! Quant à la qualité de l’image de synthèse et des différents effets, elle va grandissant, au point que dans le dernier opus un des décors m’a bluffée et j’ai cru avoir affaire à une prise de vue réelle ! La musique est excellente, très entraînante, et tirerait même sur le celtique dans les passages plus calmes – ce qui ne gâche rien. Enfin, petit plaisir personnel, si en général les voix françaises des trois films Dragons collent bien aux personnages, dans Dragons : le monde caché, Grimmel, l’antagoniste, est doublé par Féodor Atkine, l’homme qui a prêté entre autres sa voix à Gregory House et, surtout, à Jafar : LA meilleure voix de méchant francophone à mon sens. En bref, Dragons, c’est que du bonheur d’un bout à l’autre des trois films, à voir absolument !

Wile C. : Des films sur les dragons c’est bien, qu’ils aient une histoire intéressante et des suites (logiques) et bien faites, c’est mieux ! (coucou Dragonheart 2). Inspirée d’une série de livres (que je n’ai pas lu), cette série de films est superbement réalisée, autant au point de vue technique qu’artistique (après, on aime le character design ou pas). Les scénarios sont un peu classiques, certaines scènes attendues (n’oublions pas qu’il s’agit de films pour les jeunes au départ), mais cela n’enlève rien aux émotions qu’elles transportent. Et des émotions il y en a, autant chez le spectateur que chez les personnages, dragons compris ! (et vous admettrez que faire sourire une chose écailleuse en la faisant rester écailleuse, c’était pas gagné d’avance). Niveau sonore, on n’est pas en reste non plus, comme dit plus haut, avec une bonne vf et des traductions qui tiennent la route pour les noms des personnages. Je vous laisse là, je dois encore trouver des composants pour mon armure en Dragon vipère et ça ne va pas se farmer tout seul.

Sources


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