Comment réagir quand, d’un seul coup, on se retrouve propulsé du statut de jeune humaine des plus ordinaires à celui de divinité ? C’est à cette question que Nanami devra répondre lorsqu’elle s’y retrouvera confrontée. Avec une bonne dose d’humour et de romance, Divine Nanami vous propose de suivre les aventures d’une divinité pas comme les autres.
Informations techniques
- Titre original: Kamisama Hajimemashita (神様はじめました)
- Titre français : Divine Nanami
- Auteur : Suzuki Julietta
- Origine: Japon
- Genre: Romance, Fantastique
- Classification démographique : Shōjo
- Éditeur VF : Delcourt
- Sens de lecture : japonais
- Prix indicatif: ~7€ ; ~10 CHF
- Année: 2008
- Nombre de volumes parus: 25
- Statut : terminée
- Âge conseillé: 12+
Pour vous mettre en appétit
Son père s’étant endetté jusqu’au cou, Nanami, un lycéenne des plus naïves, se retrouve à la rue. Obligée de passer la nuit sur un banc public, dans un parc, elle rencontre un étrange personnage terrifié par un chien. Elle met l’animal en fuite. Pour la remercier, l’étranger lui propose de prendre soin de sa maison. Nanami accepte, trop heureuse d’avoir trouvé un toit pour la nuit. La maison en question se révèle être un temple en ruines, occupé par deux feux follets, Onikiri et Kotetsu, ainsi qu’un yokai au sale caractère du nom de Tomoe.
La jeune fille comprend alors qu’elle est devenue la nouvelle divinité des lieux, et qu’en tant que telle, elle doit avoir des serviteurs. Or, pour qu’un démon passe à son service, il faut l’embrasser. Mais comment s’y prendre ? Pour une humaine, approcher un démon n’est pas chose aisée ; et même si Tomoe est joli garçon, son sale caractère est vraiment imbuvable… Quelles d’épreuves l’attendent pour devenir une véritable déesse ?
Avis de la Rédac’
Xefed : Bien qu’assez basique, le thème principal traité dans Divine Nanami est très bien maîtrisé par l’auteure de la série. Le développement des relations entre les différents protagonistes se fait de manière lente et logique, même si la fin de la série se précipite quelque peu et peine à convaincre.
Le dessin est beau, tout en douceur, ce qui rappel le traitement de l’histoire. La découpe des cases est efficace et le dessin maîtrisé, sans pour autant être une claque graphique. L’émotion est au centre du récit et l’auteur a su retranscrire celle-ci avec brio sans pour autant tomber dans le cliché et dans la mièvrerie à outrance – ce qui représente, selon moi, l’un des gros points positifs de Divine Nanami. Sans être une révolution du genre, donc, la série mérite quand même qu’on s’y attarde et vous promet quelques heures de bonne lecture qui vous remontera le moral si vous n’êtes pas au mieux de votre forme.
2 commentaires
Baiser du Renard (le) - Geek-It · 6 juin 2021 à 9 h 08 min
[…] : J’ai bien apprécié cette petite série, qui m’a rappelé Divine Nanami sur de nombreux points. La série est cependant beaucoup plus courte et va donc à l’essentiel, […]
Genres et classification du manga - Geek-It · 14 juin 2017 à 10 h 29 min
[…] quelques exemples de mangas appartenant à cette catégorie : Divine Nanami, Sakura chasseuse de cartes, Kilary, Fruits basket , Magic Knight Rayearth, Sailor Moon, Tokyo mew […]