Drifting Dragons nous fait suivre les aventures de Takita, une nouvelle recrue venue renforcer les effectifs du Quin Zaza, l’un des derniers vaisseaux dragonniers encore en fonction.
Drifting Dragons est tirée de la série de mangas seinen éponyme de Taku Kuwabara, prépubliée dans le magazine Good! Afternoon en juin 2016.
Informations techniques
- Titre : Drifting Dragons
- Titre original : 空挺ドラゴンズ – Kūtei Doragonzu
- Date de sortie : Janvier 2020
- Réalisateurs : Tadahiro Yoshihira
- Scénariste : Makoto Uezu
- Musiques : Masaru Yokoyama
- Studio d’animation : Polygon Pictures
- Genre : Aventure, Cuisine, Fantastique
- Licence : Netflix
- Origine : Japon
- Saison(s) : 1
- Épisodes : 12
- Durée moyenne par épisode : 23 minutes
- Statut : Terminée
- Âge : 12+
L’histoire en quelques mots
Autrefois nombreux, les vaisseaux dragonniers qui sillonnent les cieux sont aujourd’hui rares. Le Quin Zaza est l’un des derniers à pratiquer la chasse aux dragons, des créatures légendaires qui sillonnent le ciel et qui peuvent représenter une menace pour les habitants des villes et villages se trouvant sur leur territoire. Mais bien que terriblement dangereuse, la chasse au dragon est également rentable, car leurs corps peuvent être utilisés pour créer des médicaments, des armes, mais surtout pour être consommés. Car la viande de dragon est connue pour être la meilleure des viandes qui soit, incitant encore aujourd’hui de jeunes dragonniers à rejoindre l’aventure malgré les dangers que cela représente.
Avis de la rédac’
Keul : J’avoue que même après avoir regardé cette série au complet, je ne sais toujours pas où elle veut aller. J’ai bien compris qu’il s’agissait de chasseurs de dragons qui chassent pour survivre et nourrir villes et villages. On tente de nous faire passer le message qu’ils défendent les villages d’attaques, mais on nous dit ensuite que les dragons n’attaquent jamais les humains. Reste donc la chasse pour leur viande. J’ai d’abord pensé que les dragons étaient la seule source de viande dans ce monde mais non, il y a bien des éleveurs et d’autres chasseurs d’animaux plus classiques et moins dangereux. Du coup le seul justificatif à chasser les dragons c’est que leur viande est meilleure, mais rien de plus. Le message de fin est aussi assez ambigu : on chasse pour manger et on mange pour chasser, c’est ça être dragonnier. Non, décidément, cette série me laisse un arrière-goût amer. Le parallèle avec la chasse à la baleine par les Japonais est trop évident et, même si ce n’était pas l’idée de dédouaner celle-ci, c’est trop évident pour n’être qu’une simple coïncidence. Pourtant la série est jolie, assez bien animée – mention spéciale aux décors et aux tempêtes qui sont magnifiquement détaillés –, et l’histoire à côté de cette chasse, ces parties tranche-de-vie sur le dirigeable, sont très intéressantes.
Bande annonce
Sources des images
- Affiche : https://www.nautiljon.com
- Autres : Netflix
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